Demandez-nous un devis
Informations Pratiques
Savoy International
Z.I. des Grands Prés
52, rue Guillaume Fichet,
74300 Cluses
France
Du lundi au Vendredi
de 8h à 19h
Questions
Fréquemment
Posées
Nam magna ex, accumsan id auctor sed, finibus a urna. Proin interdum feugiat viverra. Praesent sapien tortor, pulvinar rutrum purus at, tincidunt.
Un croquis, des côtes précises de l’existant suffisent souvent à faire une première ébauche, présentant les fonctionnalités attendues.
La seconde étape consiste à imaginer un minimum de pièces remplissant un maximum des fonctions attendues, concevoir jonctions adaptées aux circonstances. A ce stade, un premier jeu de prototypes permet de valider les derniers points (essentiellement l’ergonomie). La connaissance profonde de nos outils de production nous permet d’optimiser les impressions, dès la conception des pièces.
Le plastique, d’une manière générale, a plutôt mauvaise réputation d’un point de vue environnemental.
Pourtant, l’impression 3D a permis l’émergence de plastiques bio sourcés, SANS PETROLE !
Le plus utilisé est le PLA, produit à partir de maïs, de canne à sucre, d’algues, de nombreux projets de recherche sont en cours. Il s’imprime facilement, donne des pièces très bien finies et rivalise désormais haut la main sur de nombreux atout de l’ABS, référence traditionnelle dans l’industrie. C’est le matériaux de référence pour les prototypes, des objets de déco, des accessoires dans la maison ou l’atelier.
Le PETG est ce plastique dont sont fait les bouteilles d’eau par exemple. Les filières de recyclages sont parmi les plus efficaces. Il s’imprime facilement avec un peu de pratique dans des conditions stables. C’est le plus utilisé pour des pièces techniques courantes dans un atelier par exemple.
ASA, PC, Nylon renforcé fibre de carbone, ces matériaux très techniques permettent des impressions de très haute qualité technique et souvent esthétiques.
Nous travaillons exclusivement avec des filaments de 1er choix : la référence internationale, le Prusament Original, mais aussi et surtout avec les filaments Arianeplast, fabriqués à Sarrebourg dans la Moselle.
Les imprimantes 3D premiers prix, de 200 à 600 € qui demande un investissement en temps énorme avant d’arriver à une qualité stabilisée, alors souvent remise en cause par des problèmes de fiabilité. Ces machines sont parfaites pour des hobbyistes qui cherchent avant tout le plaisir d’apprendre pas à pas.
A l’opposé, le marché propose d’excellentes imprimantes 3D a destinations d’unités industrielles cherchant avant tout des volumes de production, disposant de moyens humains et techniques adaptés : salles blanches climatisées… de 3 500 à 10 000 €, voire même beaucoup beaucoup plus plus des machines très pointues.
C’est pour apporter une réponse pratique à ce problème que j’ai souhaité changer les règles du jeu, en prenant moi même le risque de l’investissement en temps et en matériel, pour accompagner de nouveaux usagers.
Les conséquences les plus graves des activités humaines sur notre planète viennent principalement des transports et de l’obsolescence des objets que nous utilisons.
Par exemple, une lettre de 100g postée de Paris à Saint Martin de Londres entraîne le rejet de 23g de CO2… Soit 23% de son poids…. Imaginez l’impact d’un simple porte savon venant de l’autre bout du monde….
L’impression 3D permet de produire localement, au plus proche de l’utilisation finale. Elle permet de produire uniquement la quantité nécessaire sans avoir besoin de volumes de production énormes pour rentabiliser de gigantesques usines qui doivent nécessairement nous enfumer de publicité pour écouler leurs productions.
Sauf demande particulière, la Saint Louvienne travaille presque exclusivement avec des matériaux recyclés en en France. Ils offrent une qualité identique aux autres filament, mais sans la même variabilité de couleurs. Les matériaux utilisés sont tous recyclables, de plus en plus sont d’origine 100% végétale. Les filières de recyclage de la plupart de matériaux existent déjà avec de bon niveaux d’efficacité. Par exemple, le PETG, très utilisé est le même matériaux que celui utilisé pour nos bouteilles d’eau.
Des filières locales s’organisent rapidement pour recycler les pièces imprimées en nouveau filament.
Voilà plus de 30 ans que ces questions sont au centre de mes préoccupations : ce n’est pas parfait, mais je suis convaincu que cela va dans le bon sens.

